Le Vatican est le lieu le plus secret et le plus obscure de toute la Chrétienté ! Il s'y trouve des catacombes ou des salles sont dédiées a des dieux et rituels païens. Des loges Franc-Maçonnes sont en son sein. Des chants a la gloire de Lucifer y sont chantées lors de cérémonies publiques et officielles. Les décors et les habits du Pape sont plein de symboles occultes. Les illuminatis y feraient des viols et rituels sataniques en sacrifiant des enfants....et son télescope au nom évocateur de LUCIFER ! Sans oublier ses archives secrètes datant de plusieurs siècles...
A votre arrivée au Vatican vous êtes accueillis sur la Place Saint Pierre, située devant la basilique Saint-Pierre, dont elle constitue en quelque sorte le parvis, présentant sa façade sur son côté ouest. C'est là que se tient la foule lors des grandes fêtes religieuses célébrées par le pape, comme la bénédiction urbi et orbi. Ou trône fièrement un obélisque égyptien transporté à Rome par Caligula ,il est le troisième empereur romain. Il a régné de 37 à 41, et succédé à Tibère. Selon nos principales sources concernant son règne, principalement les récits du biographe latin Suétone et de l'historien grec Dion Cassius, après un début de règne prometteur, durant lequel il connut une grande faveur auprès du peuple romain, il devint peu à peu un empereur autocratique, délaissant et assassinant ceux qui avaient soutenu son ascension, tout en nourrissant une profonde haine pour le Sénat. À la suite de l'historien allemand H. Willrich, de nombreux historiens contemporains ont toutefois pris leurs distances vis-à-vis de ces témoignages. Caligula meurt à Rome en 41, assassiné par un groupe de prétoriens. pour orner la spina de son nouveau cirque du Vatican. Il se trouve aujourd’hui au centre de la place Saint-Pierre.
L'obélisque est un symbole phallique, il représente le sexe d'Osiris, il était le dieu de la fertilité et du développement végétal, mari d'Isis et père d'Horus et de Seth. Leurs initiales forment IHS comme pour l acronyme des Jésuites.
Le sceau de la Compagnie, ou christogramme, IHS, représente les trois premières lettres de IHΣOYΣ (Iêsous), « Jésus » en grec. La devise de la Compagnie, « Ad majorem Dei gloriam » (« Pour une plus grande gloire de Dieu »), rend compte de la diversité des tâches auxquelles s'adonnent les jésuites. Outre l'enseignement, qui s'étend à tous les niveaux, ils pratiquent la prédication, sont missionnaires, directeurs de conscience, enseignent la théologie, effectuent des recherches scientifiques, etc
LES CATACOMBES DE LA BASILIQUE SAINT PIERRE :
Les millions de touristes qui se pressent pour visiter la basilique Saint-Pierre ignorent souvent qu’il est possible d’explorer les fouilles archéologiques situées sous l’immense lieu de culte. Du martyre de Pierre à la basilique actuelle, les "Scavi" sont un témoignage historique autant que religieux.
Lorsque Pie XI meurt, il exprime dans son testament sa volonté d’être enterré le plus près possible de la tombe supposée de saint Pierre. Pie XII entame alors des fouilles sous la basilique Saint-Pierre, afin de respecter les dernières volontés de son prédécesseur. Et fait le pari de la confiance en la science, et aux générations de chrétiens qui ont vénéré le tombeau de l’apôtre.
Après des campagnes de fouilles, puis des études historiques, archéologiques ou encore architecturales, Pie XII clôt le jubilé de 1950 en s’exclamant : « La conclusion finale des travaux et études répond un oui très clair : la tombe du prince des Apôtres a été retrouvée ».
Du cirque de Néron à la basilique Saint-Pierre
Après l’incendie de Rome en 64, l’empereur Néron impose une vague de persécution des chrétiens, au cours de laquelle saint Pierre est crucifié tête en bas dans le cirque du Vatican. Le corps du saint est alors déposé dans une tombe à même le sol, sous un petit toit de tuile, dans la nécropole païenne de la colline du Vatican. Rapidement, tandis que la nécropole s’étend jusqu’aux rives du Tibre, le lieu de sépulture de saint Pierre attire les pèlerins.
Au IVe siècle, l’empereur Constantin permet le développement du culte chrétien et décide de construire une basilique dont l’autel serait à la verticale de la tombe de l’apôtre. Au-dessus de la tombe originelle, Constantin fait édifier un monument haut de trois mètres, en marbre et en porphyre, dont on aperçoit encore aujourd’hui une colonne et un pan de mur. Avec la construction de la basilique actuelle, majestueuse, l’autel papal est bien sûr conservé au-dessus de la tombe de saint Pierre.
Les reliques de saint Pierre
En 1941, une boîte contenant des ossements, trouvée non loin de la tombe, dans une petite niche (loculus), près d’un mur rouge du monument de Constantin, est mise de côté. Une dizaine d’années après, lors de la deuxième campagne de fouilles, de 1952 à 1958, une archéologue italienne, Margherita Guarducci, découvre l’inscription grecque « Pierre est ici » sur un fragment du mur rouge. La boîte est alors reprise pour analyser les ossements, et l’on découvre qu’ils sont ceux d’un homme de constitution robuste, du Ier siècle, d’âge avancé, présentant de l’arthrose, maladie courante chez les pêcheurs. Des restes de tissu pourpre, cousu de fils d’or, entourent les fragments d’os, signe d’une vénération certaine. Les os présumés de l’apôtre avaient été légèrement déplacés de la tombe au loculus, sans doute par des chrétiens désireux de prévenir toute profanation.
Le 26 juin 1968, lors d’une audience, Paul VI déclare à son tour : « Les reliques de saint Pierre ont été elles aussi identifiées d’une façon que nous pouvons tenir pour convaincante ». Elles sont alors replacées dans le loculus, excepté quelques reliques destinées à la chapelle privée du pape.
Visite guidée
Aujourd’hui, on accède aux fouilles par une entrée située à côté de la sacristie de la basilique. Juste à côté de l’entrée, au sol, se trouve un carré rappelant l’emplacement de l’obélisque dressée autrefois au centre du cirque de Néron.
Les visiteurs descendent un escalier étroit pour pénétrer dans la nécropole païenne, et cheminent à travers des mausolées de grandes familles romaines, avant d’arriver devant les reliques de l’apôtre. Exactement à la verticale de l’autel de la basilique, surmonté du baldaquin du Bernin, dans l’axe précis de la coupole de Michel-Ange, dans le creux d’un mur de pierres, se trouvent les humbles restes du premier pape.
LA BANQUE DU VATICAN
L'Institut pour les œuvres de religion (IOR), dit la « banque du Vatican », est la principale institution financière du Saint-Siège. Traditionnellement financée par le denier de Saint-Pierre, son président limogé en 2012 était Ettore Gotti Tedeschi. Depuis le 9 juillet 2014, le Français Jean-Baptiste de Franssu est le nouveau président succédant à Ernst von Freiberg
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L'institut est une banque privée, formellement instituée en 1942 par le pape Pie XII, avec son siège dans la cité du Vatican. L'IOR est à tort considérée comme la banque centrale du Vatican alors que ce rôle revient en fait à l'Administration du patrimoine du siège apostolique (APSA) et l'Autorité d'information financière.
L'IOR a été plusieurs fois au centre de scandales, pas seulement financiers, mais entre autres aussi la faillite de la Banco Ambrosiano.
Depuis 2013, l’IOR a commencé un programme de réforme pour accroître la transparence de l’institution et la conformité à la réglementation internationale.
La première phase du processus de réforme a été terminée en juillet 2014.
Les controverses
La Banque du Vatican est considérée comme une banque profitable et rentable. Dans les années 1990, la Banque a investi plus de US$ 10 milliards dans des sociétés étrangères. En 1968, les autorités du Vatican ont embauché Michele Sindona en tant que conseiller financier, en dépit de son passé douteux. Sindona était le principal responsable de l'afflux massif d'argent (technique d'escroquerie de la cavalerie : achats de banques avec les dépouilles de la précédente) quand il a commencé le blanchiment de sommes d'argent issues du narcotrafic lié à la famille Gambino (en prenant une taxe de 50 %) grâce à une société écran nommée « Mabusi ». Cet argent a été obtenu avec l'aide d'un autre banquier, Roberto Calvi, qui a géré la Banque Ambrosiano. Calvi et Sindona étaient membres de la Loge
Une théorie apparaît concernant l'empoisonnement de Jean-Paul Ier. Selon celle-ci, Paul Casimir Marcinkus est mis en cause : en effet, lorsqu'il est devenu pape en 1978, il est informé de suppositions d'actes répréhensibles à la Banque du Vatican et demande à Jean-Marie Villot, le cardinal secrétaire d'État et chef de la Curie papale, de mener une enquête de fond. Jean-Paul Ier meurt 33 jours après son élection, pouvant laisser supposer qu'il avait été assassiné en raison de la découverte d'un scandale.
Cette théorie contredit la version officielle du décès du pape mais elle est corroborée par les déclarations du repenti Vincenzo Calcara au juge Paolo Borsellino. La version officielle attribue sa mort à un infarctus ou une crise d'urémie.
Scandale de Banco Ambrosiano
La Banque du Vatican était l'actionnaire principal de Banco Ambrosiano. Le père Paul Marcinkus, directeur de l'IOR de 1971 à 1989, a été inculpé en Italie en 1982 comme complice dans l'effondrement de la Banco Ambrosiano estimé à 3,5 milliards de dollars, l'un des plus grands scandales financiers de l'après-guerre. Banco Ambrosiano a été accusé de blanchiment d'argent de la drogue pour la mafia sicilienne, qui a utilisé Propaganda Due , une loge maçonnique, comme intermédiaire et son vénérable maître, Licio Gelli, ont également été impliqués dans le financement de groupes d'extrême-droite terroristes pendant les années 1970. Comme pour le père Marcinkus, il ne viendrait jamais à un procès en Italie, où les tribunaux ont décidé qu'il possédait l'immunité diplomatique. Il vécut sa retraite à Sun City en Arizona (États-Unis) jusqu'à sa mort le 21 février 2006
La Banque du Vatican a démenti avoir la responsabilité légale de la chute de l'Ambrosiano, mais a reconnu un « engagement moral », et payé 241 millions de dollars américains aux créanciers. En 2006, l'enquête se poursuit concernant l'assassinat du président de l’Ambrosiano, Roberto Calvi, qui, selon Ernest Backes, l'ancien numéro 3 de Clearstream, aurait été lié à la mort de Gérard Soisson : celui-ci, manager de la chambre de compensation de Clearstream, une « banque des banques », fut retrouvé mort en Corse, en juillet 1983, juste avant que l'affaire Ambrosiano soit rendue publique. Selon des informations récentes d'écoute électronique cependant, la mort de Calvi a presque certainement été décrétée par la Commission Cupola, l'instance dirigeante de la mafia sicilienne, qui avait commencé à considérer Calvi comme un passif à la suite de l'effondrement de la banque.
Enquête sur le blanchiment d'argent par le Vatican (2009-2014)
En 2009, le magazine italien le Panorama rapporte que l'IOR fait l'objet d'investigations de la part des autorités italiennes de la Cellule de renseignement financier de la Banque d'Italie mais aussi de la Garde des finances sur des transactions de blanchiment d'argent d'un montant de 180 millions euros de la part d'une branche d'UniCredit située à Via della Conciliazione en face de la basilique Saint-Pierre48. La banque s'occupe des comptes d'ordres religieux et autres associations Catholiques en utilisant le statut extraterritorial du Saint-Siège.
Le 21 septembre 2010, la police italienne déclare que Ettore Gotti Tedeschi et un autre responsable de l'IOR font l'objet d'investigations pour des charges de blanchiment d'argent. 23 millions d'euros sont saisis par précaution. La Police démarre l'enquête sur Tedeschi environ une semaine avant que les nouvelles ne soient rendues publiques et après qu'une division de la Banque d'Italie alerte la police concernant deux transactions, impliquant l'IOR, considérées suspectes. L'argent saisi est liée à une banque italienne, Credito Artigiano, du holding JPMorgan Chase et une autre banque italienne, la Banca del Fucino51 Tant l'origine que la destination des fonds étaient des comptes sous le contrôle de l'IOR. L'IOR aurait manqué de divulguer l'origine de l'argent, en violation de la loi italienne. Dans une déclaration sur l'enquête, le Vatican déclare être « perplexe et stupéfié par les initiatives des procureurs de Rome, considérant que les données nécessaires étaient déjà disponibles auprès de la Banque d'Italie ». Selon la police, l'enquête ne signifie pas que les officiels (fonctionnaires) impliqués sont soupçonnés d'avoir commis une infraction : une décision juridique s'avèrerait nécessaire afin de poursuivre l'enquête.
Le 30 décembre 2010, la page d'accueil de l'Agence de presse Catholique rapporte que Benoît XVI a publié une lettre apostolique qui crée l'autorité d'information financière comme une agence indépendante qui surveille les activités monétaires et commerciales de toutes les institutions en rapport avec le Vatican, y compris l'IOR53. Cette autorité contrôle toutes les opérations financières du Vatican et s'assure qu'elles respectent les normes internationales contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme.
Le 31 mai 2011, le procureur général de Rome a sorti 23 millions d'euros des actifs qui avaient été saisis, apparemment en reconnaissance des étapes franchies au cours des mois précédents pour conformer l'Institut aux normes internationales.
Le 24 mai 2012, Ettore Gotti Tedeschi est évincé en tant que responsable de la Banque du Vatican au motif « de l'échec à accomplir les fonctions principales de sa mission ». En 2012, il est soupçonné de blanchiment d'argent54.
Le 1er juillet 2013, le directeur général de la banque du Vatican, Paolo Cipriani, et son adjoint Massimo Tulli démissionnent à la suite de l'arrestation de Mgr Nunzio Scarano, comptable lié à cette banque, ce dernier étant accusé d'avoir tenté de transférer illégalement 20 millions d'euros de la Suisse vers l'Italie. Nommé en février président de l'IOR, l'avocat allemand Ernst von Freyberg (en) assume à titre provisoire les fonctions de directeur général de la banque55. Il est remplacé en juillet 2014 par le financier français Jean-Baptiste de Franssu.
Les Archives secrètes apostoliques du Vatican, en latin Archivum Secretum Apostolicum Vaticanum, sont les archives centrales du Saint-Siège contenant tous les actes et documents (parchemins, manuscrits, volumes anciens reliés de cuir ou de bois, bulles papales) concernant le gouvernement et l'activité pastorale du Pontife romain et des organismes du Saint-Siège. En tant que telles, les Archives secrètes sont « avant tout et principalement [au service] du Pape et de sa Curie, c'est-à-dire du Saint-Siège » (motu proprio de Léon XIII du 1er mai 1884).
Débutées avec le rassemblement de documents par le pape Innocent III en 1198, les archives vaticanes sont conservées dans la Bibliothèque apostolique vaticanecréée par le pape Nicolas V en 1448, mais les Archives secrètes du Vatican sont officiellement fondées le 31 janvier 1612 par Paul V lorsque le pape les sépare de la bibliothèque du Vatican, formant ainsi deux institutions bien distinctes.
Un million et demi de documents sur 2 000 ans d'histoire répartis dans 600 fonds sont actuellement conservés sur deux étages dans 85 kilomètres linéaires de tablettes d'étagères dans un bâtiment climatisé construit sous la cour du musée du Vatican et inauguré par Jean-Paul II en 1982. Bien que le qualificatif de « secret » signifie « privé » (terme latin secretum faisant référence depuis le xviie siècle à l'usage privé de ces documents, par le pape et son entourage), de nombreux volumes restent interdits de consultation, notamment ceux précédant le viiie siècle. Cependant en 1881, les Archives secrètes ont été ouvertes à la libre consultation des universitaires par Léon XIII (pour toute la période allant du VIIIe jusqu'au congrès de Vienne en 18155) afin de répondre à une historiographie hostile au christianisme, donnant ainsi naissance à la commission cardinalice pour l’étude des sciences historiques. Paul VI ouvre aux chercheurs les documents relatifs au Concile Vatican II, Jean-Paul II à ceux des prisonniers de guerre 1939-1947 et Benoît XVI autorise l'ouverture de toutes les pièces relatives à l'entre-deux-guerres de 1920 à 1939.
En 2012, marquant le 400e anniversaire de la création de ces archives secrètes, l'exposition « Lux in Arcana, les archives du Vatican révélées » dans le musée du Capitole à Rome dévoile pour la première fois au public une centaine de documents parmi les plus précieux : procès de Galilée, excommunication de Martin Luther, « confession » des Templiers sur un parchemin de soixante mètres, des lettres de Michel-Ange sur la construction de la basilique Saint-Pierre ou encore la requête en annulation du mariage d'Henri VIII et de Catherine d'Aragon
LE VATICAN ET SA MUSIQUE LUCIFÉRIENNE
DES VÊTEMENTS, OBJETS ET DU MOBILIER PAS TRÈS CATHOLIQUES...
LE TÉLESCOPE DU VATICAN : LUCIFER
LUCIFER, de son nom complet le Large Binocular Telescope Near-infrared Spectroscopic Utility with Camera and Integral Field Unit for Extragalactic Research, soit en français « Installation spectroscopique proche infrarouge du Grand Télescope binoculaire avec caméra et unité intégrale de champ pour la recherche extragalactique », est un instrument utilisé en astronomie sur le télescope appelé Large Binocular Telescope. L'ensemble fait partie de l'Observatoire international du Mont Graham, construit en 1989. Il est situé sur le Mont Graham, dans le sud-est de l'Arizona aux États-Unis. Peu d'éléments donnent l'origine du nom de l'instrument : selon un porte-parole de l'université d'Arizona, le nom de LUCIFER signifie « Porteur de Lumière ». À l'origine, c'est l'un des noms que les Romains donnaient à l' étoile du matin (ou le porteur de lumière), autrement dit la planète Vénus. Il est à noter que sur le même site, se trouve le télescope du Vatican (Vatican Advanced Technology Telescope) qui fait partie de l'observatoire du Vatican. Le nom de LUCIFER est probablement un sigle en rapport avec cet autre observatoire.
Controverse
À la suite du baptême de l'instrument du BPT, diverses théories du complot sont apparues sur le réseau internet. En effet, la caméra est généralement confondue avec un télescope et souvent indiquée, à tort, comme étant la propriété du Vatican. Différentes vidéos ont été publiées sur internet, afin de conforter les théories sur les sectes sataniques au sein du Vatican
Vatican : drogue et orgie gay dans l'appartement d'un prêtre haut placé
Alertée par des voisins, la police du Vatican a débarquée dans l'appartement d'un prêtre haut placé. Les forces de l'ordre découvrent une scène peu banale : de la drogue partout et une orgie gay.
Les faits se sont déroulés en juin dernier, d'après le quotidien italien Il Fatto Quotidiano. Suite à plusieurs plaintes des voisins, dérangés par les allées et venus de visiteurs nocturnes, la police du Vatican aurait mené un raid dans cet appartement, de l'ancien palais de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. L'appartement en question est occupé par un prêtre haut placé, puisqu'il exerce la fonction de secrétaire du cardinal Francesco Coccopalmerio, chef du Conseil pontifical pour les textes législatifs, et conseiller personnel du Pape François.
Le sexe gay autorisé au Vatican
Une fois sur place, la police fait une étonnante découverte : de la drogue à foison et un groupe d'hommes en pleine orgie gay. La presse s'est rapidement emparée de l'affaire, même si le sexe gay est autorisé sur le territoire du Vatican. En revanche, la drogue, elle est bien illégale. Le prêtre en question aurait été envoyé en retraite dans un couvent en Italie.
Le Pape s'est dit très peiné par cet incident, et aurait demandé au cardinal Coccopalmerio de démissionner. D'autant plus que ce ne serait pas la première fois que le prêtre se fait prendre la main dans le sac, l'International Business Times assure qu'il aurait déjà fait deux overdoses dans le passé. Ce nouveau scandale ne risque pas de redorer l'image de l'Eglise, ternie par des affaires de pédophilie.
Emanuela Orlandi (née le 14 janvier 1968) est une citoyenne de la Cité du Vatican, fille d'un employé de la Préfecture de la Maison Pontificale, qui a disparu mystérieusement le 22 juin 1983. Cette disparition est l'une des affaires les plus obscures de l'histoire criminelle italienne ; prise pour une fugue au début, elle impliquera l'État du Vatican, l'État Italien, l'Institut pour les œuvres de religion (c'est-à-dire la Banque du Vatican) (IOR), la Banda della Magliana, la Banco Ambrosiano et les services secrets de différents pays. Elle n'est pas encore entièrement résolue à ce jour. La disparition d'Emanuela est parfois liée à celle d'une autre adolescente, romaine, Mirella Gregori, qui n'a jamais été retrouvée non plus.
En mai 2012, le père Gabriele Amorth affirme qu'Emanuela Orlandi a été enlevée par un membre de la police du Vatican pour des parties fines, puis assassinée. Amorth affirme que l'événement a impliqué également les fonctionnaires d'une ambassade étrangère sans en citer le nom1. D'autres sources, policières, affirment que l'enlèvement a été effectué par des terroristes turcs (les Loups gris) pour réclamer la libération de Mehmet Ali Agca emprisonné pour avoir tiré sur le pape Jean-Paul II.
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