
Noël est une fête d'origine romaine célébrée chaque année, majoritairement dans la nuit du 24 au 25 décembre ainsi que le 25 toute la journée. En tant que fête chrétienne, elle commémore la naissance de Jésus de Nazareth. Avant la christianisation de l'Occident, elle était appelée Dies Natalis Solis Invicti et correspondait au jour de naissance de Sol Invictus. La date du 25 décembre a été fixée comme grande fête du soleil invaincu (Sol Invictus) par l'empereur romain Aurélien qui choisit ainsi comme date le lendemain de la fin des Saturnales mais qui correspond aussi au jour de naissance de la divinité solaire Mithra. Aurélien souhaite en effet unifier religieusement l'empire, en choisissant cette date il contente les adeptes de Sol Invictus et du culte de Mithra tout en plaçant la fête dans la continuité des festivités traditionnelles romaines.
Le mithraïsme — parfois mithriacisme ou mithrach[k]isme — ou culte de Mithra (en persan : مهرپرستی ) est un culte à mystères apparu probablement pendant le IIe siècle av. J.-C. en Perse. Durant les siècles suivants il se propage dans tout l'Empire romain et atteint son apogée durant le IIIe siècle. Ce culte est particulièrement bien reçu et implanté chez les soldats romains.
À la fin du ive siècle, l'empereur Théodose entreprend d'éradiquer les religions autres que le christianisme. À la suite d'un décret de 391 les temples non-chrétiens sont détruits ou transformés en églises ; ce décret constitue l'arrêt de mort du mithraïsme.

Selon un récit reconstruit à partir des images et de quelques témoignages écrits, le dieu Mithra naît d'une pierre (la petra generatrix) près d'une source sacrée, sous un arbre lui aussi sacré. Au moment de sa naissance il porte le bonnet phrygien, une torche et un couteau.
Adoré par les pasteurs dès sa naissance, il boit l'eau de la source sacrée. Avec son couteau, il coupe le fruit de l'arbre sacré, et avec les feuilles de cet arbre se confectionne des vêtements. Il rencontre le taureau primordial alors que celui-ci paît dans les montagnes. Il le saisit par les cornes et le monte, mais, dans son galop sauvage, la bête le fait tomber. Mithra continue à s'accrocher aux cornes de l'animal, et le taureau le traîne pendant longtemps, jusqu'à ce que l'animal n'en puisse plus. Le dieu l'attache alors par les pattes arrière et le charge sur ses épaules. Ce voyage de Mithra avec le taureau sur ses épaules se nomme transitus.
Quand Mithra arrive dans la grotte, un corbeau envoyé par le Soleil lui annonce qu'il devait faire un sacrifice, et le dieu, soumettant le taureau, lui enfonce le couteau dans le flanc. De la colonne vertébrale du taureau sort du blé, et de son sang coule du vin. Sa semence, recueillie par la lune, produit des animaux utiles aux hommes. Arrivent alors le chien qui mange le grain, le scorpion qui serre les testicules du taureau avec ses pinces, et le serpent.

Une autre interprétation considère que le sacrifice du taureau représente la libération de l'énergie de la Nature Le serpent, comme dans le symbole de l'Ouroboros, serait une allusion au cycle de la vie ; le chien représente l'Humanité, alimentant symboliquement le sacrifice, et le scorpion est le symbole de la victoire de la mort. Les deux compagnons de Mithra, qui portent les torches et qui s'appellent Cautès et Cautopatès représentent respectivement le lever et le coucher du soleil.
Pour les fidèles, le sacrifice du taureau a sans doute un caractère salutaire, et la participation aux mystères garantit l'immortalité. L'ouroboros est un dessin ou un objet représentant un serpent ou un dragon qui se mord la queue. Il s'agit d'un mot de grec ancien, οὐροϐóρος, latinisé sous la forme uroborus qui signifie littéralement « qui se mord la queue ».
La fin symbolique de Mithra se termine par un grand banquet où Apollon sur son char va emmener Mithra. Il apporte aux hommes l'espoir d'une vie au-delà de la mort, puisqu'il est accueilli au ciel par Apollon.

La mitre est un couvre-chef réservé aux évêques depuis les premiers temps de l'Église. Il est donc porté aussi bien dans l'Église latine que dans les Églises orientales. Dans l'Église catholique de rite latin, c'est une coiffe liturgique, distinctive des hauts prélats de l'Église catholique romaine ayant charge pastorale, c'est-à-dire les évêques et les abbés.
La mitre n'est portée que durant les cérémonies liturgiques. Avant le concile Vatican II, les prévôts des chapitres cathédraux et les chanoines de certains chapitres séculiers avaient le droit de mitre, par autorisation pontificale.
Antérieurement, dans certains rites particuliers et pour certaines fonctions, les diacres pouvaient aussi être mitrés.
📷Protonotaire apostolique, Monseigneur Louis Duchesne (1843-1922) porte la mitre lors d'une procession du 15 août.
Les mitres des abbés et des évêques sont rigoureusement identiques. La mitre apparaît en Occident au cours du xiie siècle, vraisemblablement vers les années 1140-1150. Sa forme a cependant beaucoup évolué. Elle était originellement composée d'un bonnet fermé, enserré par un bandeau circulaire noué derrière la tête et retombant sur les épaules sous la forme de deux bandes, les fanons. Les faces antérieures et postérieures, appelée titres ou cornes, se sont progressivement élevées de façon parallèle, pour devenir de plus en plus hautes et de plus en plus pointues jusqu'au xviiie siècle. Les deux pans de la mitre ont pu signifier symboliquement les deux Testaments, le Nouveau étant devant.

Au XVIIIe siècle (et quelquefois, au XIXe), les grenadiers des diverses armées du nord de l’Europe portaient une mitre semblable à celle portée par les évêques occidentaux, à cette différence qu’elle était en métal au lieu de tissu. Certains régiments de fusiliers portaient également une mitre en laiton avec une plaque frontale plus petite. La mitre survécut comme tenue de parade de quelques régiments de grenadiers prussiens et russes jusqu’à la Première Guerre mondiale. Le style différait selon les armées : le style allemand consistait en une structure en forme de cône entièrement brodé de tissu, le style russe consistait en une plaque en laiton au-dessus d’une casquette de cuir, avec un pic à l’arrière tandis le style britannique consistait en une haute plaque en tissu devant un petit bonnet rouge, bordé de blanc. Vers la fin du XVIIIe siècle, le bonnet à poils remplace la mitre dans la plupart des armées, sauf celle de Russie.
La célébration de Noël en tant que jour de naissance de Jésus de Nazareth a conduit à la christianisation progressive de ce « Noël païen » La première mention d'une célébration chrétienne à la date du 25 décembre a lieu à Rome en 336. Le christianisme s'ajoute ainsi à la liste des religions rendant un culte à Noël. À la suite de l'édit de Thessalonique interdisant les cultes païens, la fête de Noël (du latin Natalis) devient même exclusivement chrétienne. Après la chute de l'Empire romain d'Occident, la fête de Yule est remplacée de la même manière lors de la christianisation des peuples germains et scandinaves. Noël devient une des fêtes chrétiennes les plus importantes durant la période médiévale et est diffusée dans le reste du monde lors de la colonisation et de l'occidentalisation contemporaine. Néanmoins, sa célébration n'étant pas exigée par des sources bibliques et conservant toujours de nombreux éléments païens, elle est rejetée par les groupes chrétiens les plus radicaux
Durant la période de Noël il est de coutume d'offrir des cadeaux et d'exprimer sa solidarité envers les démunis. Le don est présent dans de nombreuses traditions, comme celle de servir un repas au premier pauvre croisé au jour de Noël, ou dans l'exceptionnelle générosité des aumônes accordées aux mendiants à la sortie de l'office célébré durant la nuit de Noël.

La popularité de cette fête a fait que Noël est devenu un patronyme et un prénom dans de nombreuses langues parlées par les peuples chrétiens.
Noël est redevenue généralement une fête profane où des membres d'une même famille se retrouvent et s'échangent des cadeaux entre eux selon un rituel très répandu en Occident : décoration de son habitation et de l'arbre de Noël (sapin dans les pays froids ou tempérés) ; installation, le soir du 24 décembre pour le réveillon de Noël, de bas sur la cheminée ou des chaussures de tous les membres de la famille au pied de l'arbre ; ouverture des cadeaux quelques heures après, souvent le matin du 25 décembre ; repas constitué d'une dinde de Noël et se terminant par une bûche de Noël, etc. Ce rituel se retrouve également à l'échelle d'une population locale avec la décoration des rues et vitrines de magasins des villes et villages dès le début du mois de décembre, la venue du père Noël sur les marchés ou dans les écoles maternelles, ou en janvier par la galette des Rois, qui fête l'arrivée des rois mages auprès de l'enfant Jésus.
Ces traditions sont très largement admises et partagées par la majorité des chrétiens pratiquants qui personnalisent leur fête religieuse par l'ajout d'une crèche et, pour les catholiques, la célébration de la Nativité pendant la messe de minuit ; quelques-uns y voient cependant un détournement de la fête de Noël. Déchristianisé, ce jour devient, pour certaines familles, la fête où les parents célèbrent leurs enfants : ils manifestent leur amour par des cadeaux sans raison (contrairement aux anniversaires, fêtes individuelles, etc.), même si pour l'enfant le cadeau est parfois associé à un comportement jugé conforme. La célébration de cette fête est ainsi à l'origine des controverses de Noël.
D'autres grandes religions connaissent des fêtes où les parents remercient leurs enfants d'exister. Mais les instances catholiques expriment depuis longtemps leur désapprobation devant la tournure mercantile que prend cette fête. Exceptionnellement cette désapprobation a pu prendre des aspects spectaculaires, comme le 23 décembre 1951 où une effigie représentant le père Noël a été brûlée sur le parvis de la cathédrale de Dijon par des paroissiens.
Plusieurs Églises ne fêtent pas Noël, l'assimilant à une fête païenne. Noël est parfois considéré comme une fête commerciale. L'achat massif de cadeaux de Noël a pour effet un pic dans la consommation, notamment sur les secteurs du jouet, du loisir, de l'alimentation et de la restauration. En réponse à cette frénésie d'achats, une journée mondiale sans achat, programmée le plus souvent le 25 novembre, est organisée par les adbusters afin de dénoncer l'aspect économique de cette fête, et par extension la consommation de masse en général.
Enfin, l'affaiblissement des pratiques chrétiennes a paradoxalement fait attiser les tenants d'une fête radicalement laïcisée ou, à l'inverse, ceux d'un Noël multiculturel.
Le sapin de noël est t-il un symbole religieux
Les Celtes considéraient le 24 décembre, comme le jour de la renaissance du Soleil. Ils avaient coutume d'associer un arbre à chaque mois lunaire, ils avaient dédié l'épicéa, qui était l'arbre de l'enfantement, à ce jour-là.
A l'époque l'église considérait l'arbre de Noël comme une pratique païenne et franc-maçonne. Et ce fût le cas jusqu'au milieu du XXe siècle.
En fait, avant que la fête de Noel n'existe, il existait déjà un rite païen lors des fêtes du solstice d'hiver : on décorait un arbre, symbole de vie (fécondité et phallique), avec des fruits, des fleurs, du blé.

Plus tard, on accrocha une étoile au sommet de l'arbre, symbole de l'étoile de Bethléem qui guida les Rois Mages. Dès lors il conquit peu à peu les communes protestantes d'Allemagne du nord et les grandes villes et occupa une place de choix dans les églises des deux religions.
l'étoile de Bethléem ou la planète Venus apparaît toujours la première dans le ciel du soir et disparaît la dernière dans le ciel du matin. C’est l’astre le plus brillant du ciel, après le Soleil et la Lune. Cette particularité la rendait utile aux bergers, car ils pouvaient s’orienter en la voyant : le soir, elle se trouve toujours dans la direction ouest ; le matin, toujours vers l’est.

Le nom « Lucifer » signifie en latin « Porteur de lumière » (lux, « lumière », et ferre, « porter »). C'était à l'origine, l'un des noms que les Romains donnaient à l'« étoile du matin », c'est-à-dire la planète Vénus. Dans la Vulgate, Lucifer devient un nom propre utilisé pour traduire l'expression « astre brillant » du Livre d'Isaïe (14.12.). Dans la tradition chrétienne, Lucifer est associé à l'orgueil et considéré comme un ange déchu pour s'être rebellé contre Dieu. Il est alors assimilé à Satan.
Lucifer est introduit dans la Bible au IVe siècle dans la version latine, la Vulgate, pour traduire le terme hébreu hêlēl dans l'expression hêlēl ben šāḥar « (astre) brillant fils de l'aurore » qui figure dans le Livre d'Isaie. Dans le contexte de l'oracle d'Isaïe, il s'agit de décrire l’ascension et la chute d'un tyran, vraisemblablement ici la chute d'un souverain babylonien (VIe / VIIe siècle av. J.-C.). Pour cela, Isaïe utilise une image empruntée à un mythe cananéen qui fait allusion à la déesse Sahar, l'« Aurore ». Ce mythe est peut-être lui-même adapté d'un mythe grec, qui semble décrire la chute du plus brillant des astres et qui avait voulu prendre la place du soleil. Cette traduction latine reprend celle de la Bible grecque, la Septante, qui a traduit hêlēl par Éosphoros.

Le Pere Noel, Saint Nicolas ou Santa Claus Chargé d'apporter des cadeaux, il est représenté comme un vieil homme pourvu d'une longue barbe blanche et d'une houppelande rouge. Cette image est accompagnée de tout un folklore : traîneau volant tiré par des rennes, lettre de demande de cadeaux à son intention, son sac rempli de jouets.
Avec sa barbe blanche, son manteau écarlate et son trône d'or, il a tout d'un roi. Un roi des cieux, symbole de la paix, vieillard omnipotent - il offre tout - et mage omniscient - il sait tout. Pendant longtemps, l'Église a vu d'un très mauvais oeil l'émergence de ce dieu païen qui venait copier l'original, à l'image de Satan, "l'imitateur" de Dieu.
Selon la légende, le Père Noël vient du Nord, le pays des Barbares, où il vit entouré d'elfes, ces créatures étranges, mi-anges, mi-démons, habituées à servir les dieux. La tradition impose que l'homme en rouge débarque furtivement à l'improviste, toujours en pleine nuit, comme un voleur pernicieux. Il n'a pas d'âge, on l'appelle "Père", il vit éternellement et fait l'objet d'un véritable culte sur toute la planète.
Fêtes païennes et chrétiennes se sont toujours mêlées au moment du solstice d'hiver. Bien avant la célébration de la naissance du Christ, Rome célébrait déjà les saturnales pendant lesquelles on banquette, on s'offre des présents et on élit un roi de la fête - tradition que l'on retrouvera plus tard au Moyen Âge avec la fameuse fête des fous et l'élection d'un prince des farces, d'un roi des sots ou encore d'un abbé de liesse
À la Renaissance, le roi farceur disparaît peu à peu de Noël, mais s'impose lors du Mardi gras. Le fameux saint Nicolas, vénéré en Flandre et en Europe continentale, règne alors seul pendant les fêtes de fin d'année. "En fait, le personnage moderne de Santa Claus ou du Père Noël résulte de la fusion syncrétique de plusieurs personnages
De saint Nicolas, avec sa longue barbe et sa chape brillante, il n'y a qu'un pas jusqu'au Père Noël : le bonnet remplace la mitre, la hotte sa crosse. Les protestants sont les premiers à laïciser le vieux saint, dont la légende traverse naturellement l'Atlantique. Dans les années 1930, voilà Santa Claus qui promeut le Coca-Cola en distribuant des friandises au pied du sapin, symbole d'un nouveau paganisme qui se propage à la vitesse de l'éclair.
Voilà comment, des saturnales à Coca-Cola, le Père Noël s'est imposé dans la culture mondiale. Avec un tel pedigree, on comprend que l'Église n'ait guère apprécié ce personnage hybride à la forte odeur de soufre.
SANTA CLAUS = SATAN ?
Le Santa Claus des temps modernes est une version américaine de Saint-Nicolas, un évêque catholique romain du quatrième siècle d’Asie Mineure qui avait été noté pour ses bonnes actions et ses dons de cadeaux. Cette tradition s’est d’abord répandue dans toute l’Europe, puis, a trouvé son chemin en Amérique par les premiers colons hollandais.
Puisque la Parole de Dieu nous avertit de nous méfier de la tradition (Colossiens 2:8), nous ne devrions pas être surpris d’apprendre que le diable est en plein milieu de la fête la plus célébrée du monde. Le désir de Lucifer a toujours été de détrôner Dieu et de lui-même (Ésaïe 14:12-15) prendre Sa place. Il désire les adorations (Luc 4:7; II Thessaloniciens 2:3-4). Peut-être ne l’avez-vous jamais remarqué, mais notez comment Satan vole Le Seigneur Jésus-Christ de Sa gloire par la diffusion de la tradition du Père Noël …
SANTA EST ÉTERNEL
Un enfant ne sait rien de ses débuts. Pour un enfant, Santa Claus a tout simplement toujours existé.
JÉSUS-CHRIST EST ÉTERNEL
« Je suis l’alpha et l’oméga, dit Le Seigneur Dieu, Celui qui est, qui était, et qui vient, Le Tout-Puissant. » (Apocalypse 1:8)
SANTA VIT DANS LE NORD
La tradition veut que Santa Claus vive au pôle Nord, une place bien au-dessus du reste d’entre nous.
JÉSUS-CHRIST VIT DANS LE NORD
« Belle est la colline, joie de toute la terre, la montagne de Sion; Le côté septentrional, c’est la ville du grand Roi. » (Psaumes 48:3)
SANTA PORTE DES VÊTEMENTS ROUGES
Santa Claus porte un costume de fourrure rouge.
JÉSUS-CHRIST PORTE DES VÊTEMENTS ROUGES
« … et Il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son Nom est la Parole de Dieu. »(Apocalypse 19:13)
SANTA A LES CHEVEUX BLANCS
Santa est toujours représenté comme un vieil homme aux cheveux blancs comme la laine.
JÉSUS-CHRIST A LES CHEVEUX BLANCS
« Sa tête et Ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige; Ses yeux étaient comme une flamme de feu. » (Apocalypse 1:14)
SANTA VOLE EN DONNE DES CADEAUX
Santa a la capacité de défier les lois de la gravité et de voler en donnant des cadeaux aux gens.
JÉSUS-CHRIST EST MONTÉ AUX CIEUX ET A DONNÉ DES CADEAUX AUX HOMMES
« Mais à chacun de nous la grâce a été donnée selon la mesure du don de Christ. C’est pourquoi il est dit : Étant monté en haut, Il a amené des captifs, et II a fait des dons aux hommes. » (Éphésiens 4:7-8)
SANTA ARRIVE BIENTÔT
Pendant la saison de Noël, il est souligné à maintes reprises que « Santa arrive ».
JÉSUS-CHRIST ARRIVE BIENTÔT
« Celui qui atteste ces choses dit : Oui, Je viens bientôt. Amen ! Viens, Seigneur Jésus ! »(Apocalypse 22:20)
SANTA EST OMNISCIENT
On enseigne aux enfants que Santa « sait quand vous avez été bons et il sait quand vous avez été méchants ».
JÉSUS-CHRIST EST OMNISCIENT
« Les yeux de L’Éternel sont en tout lieu, observant les méchants et les bons. » (Proverbes 15:3) « Et Jésus, connaissant leurs pensées, dit : Pourquoi avez-vous de mauvaises pensées dans vos cœurs ? » (Matthieu 9:4)
SANTA EST OMNIPRÉSENT
Le Père Noël doit être omniprésent, parce qu’il a la possibilité de visiter plus d’un milliard de foyers dans un période de vingt-quatre heures. C’est plus de 1100 par seconde !
JÉSUS-CHRIST EST OMNIPRÉSENT
« Car là où deux ou trois sont assemblés en Mon Nom, Je suis au milieu d’eux. » (Matthieu 18:20)
SANTA EST OMNIPOTENT
Il a la capacité de transporter des cadeaux pour plus d’un milliard d’enfants.
JÉSUS-CHRIST EST OMNIPOTENT
« Jésus, s’étant approché, leur parla ainsi : Tout pouvoir M’a été donné dans le ciel et sur la terre. » (Matthieu 28:18)
SANTA A DES AIDES SPIRITUELS DÉNOMMÉS LES ELFES
Dans le dictionnaire Webster, 1828 : « ELF … un esprit, un cauchemar, un fantôme, une sorcière où sorcier. »
JÉSUS-CHRIST A DES AIDES SPIRITUELS DÉNOMMÉS LES ANGES
« Alors le diable Le laissa. Et voici, des anges vinrent auprès de Jésus, et Le servaient. »(Matthieu 4:11)
SANTA – SANAT – SATAN ?
Sanat Kumara est adoré par de nouveaux groupes du nouvel âge comme Dieu. H.P. Blavatsky, la mère du mouvement du nouvel âge, a dit à la page 350 de son livre, La Doctrine Secrète, Volume 2 : « Le nom n’est pas important, ce sont les lettres ». « Santa » a les mêmes lettres que « Satan » ! Selon G.A. Riplinger, « Ole Nick » est répertorié comme le nom d’un ange déchu dans le Dictionnaire des Anges Déchus. (Versions de la Bible du Nouvel Âge, Gail Riplinger, page 53)
Ne glorifiez pas Satan en donnant la gloire et les attributs de Jésus-Christ à Santa Claus ! Santa est une contrefaçon de DIEU et vous honorez Satan lorsque vous enseignez à vos enfants à croire en Santa Claus !
Comments