Attentats/Attaques terroristes FRANCE , les Franc-Maçons sont nombreux ainsi que les rencontre fortuites entre Président, Maire, garde du corps Présidentiel et le ou les terroristes.....COÏNCIDENCES ?
CHARLIE HEBDO/HYPER CACHER 7 janvier 2015 Président F.Hollande (F.M), Amedy Coulibaly (terroriste) rencontre N.Sarkosy (F.M)
BATACLAN 13 novembre 2015, Président F.Hollande (F.M), ?
NICE 14 JUILLET 2016, Président F.Hollande (F.M) , le Maire de Nice Christian Estrosi (F.M), prit en photo avec le terroriste juste avant l attentat.
CHAMPS ELYSÉE 20 avril 2017 Président F.Hollande (F.M) , mort du Policier Xavier Jugelé (F.M)
SUPER U de TREBES 23 mars 2018 Président E.Macron (F.M) , mort du lieutenant colonel A.Beltrame (F.M)
Benalla (F.M) collègue de Makao,
Makao ami de Jawad logeur des terroristes du 13/11/2015.
Jawad avec le neveu de Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur lors des attentats du Bataclan
Benalla aperçu à Londres en compagnie d'un individu fiché S
Alexandre Benalla semble recéler encore de nombreux secrets. L’ancien garde du corps est épinglé par le Canard enchaîné, à paraître mercredi 19 septembre, pour un mystérieux voyage à Londres, au Royaume-Uni, « en compagnie d’un individu fiché S »
« Ils se connaissent »
Cette personne surveillée par les services de renseignement français serait, selon le palmipède, un proche d’Alexandre Djouhri, homme d’affaires franco-algérien mis en examen début 2018 dans l’enquête sur le financement libyen présumé de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy. Alexandre Benalla se serait rendu outre-Manche le 5 septembre dernier. À en croire les observations de la police aux frontières (PAF) rapportées par l’hebdomadaire, les attitudes des deux hommes repérés en gare de Saint-Pancras, à Londres, « laisse entendre qu’ils se connaissent ». « Ils discutent ensemble », lit-on également.
De quoi faire réagir le syndicat de policiers Vigi-MI, qui s’est étonné auprès du Canard que la voiture de service de l’ancien chargé de mission n’ait pas été perquisitionnée, tout comme son téléphone portable, ni saisi, ni « ausculté ». « Même Nicolas Sarkozy n'a pas eu le droit à tant d'égards ! », glisse-t-on. Quoi qu’il en soit, cette relation plus qu’opaque entre un ancien proche d’Emmanuel Macron et un fiché S inquiète. Le 20 juillet dernier, lors de la perquisition du domicile d’Alexandre Benalla à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), les enquêteurs n’avaient pas pu mettre la main sur le coffre-fort censé contenir ses armes. Il avait alors invoqué l’intervention d’un « ami ».
Alexandre Benalla et Alexandre Djouhri se sont rencontrés à Londres
Selon nos informations, l'ancien chargé de mission d'Emmanuel Macron a fait l'aller-retour le 5 septembre pour rencontrer le sulfureux homme d'affaires dans la capitale britannique. L'un comme l'autre démentent.
L’entrevue devait rester confidentielle. Selon nos informations, Alexandre Benalla a rencontré Alexandre Djouhri le 5 septembre dans un grand hôtel londonien. Ce rendez-vous entre l’ancien proche collaborateur d’Emmanuel Macron et l’homme d’affaires le plus sulfureux de la Sarkozie a été organisé par une connaissance commune, un certain Lucas P., 26 ans, dont la mère partage des bureaux en Suisse avec Alexandre Djouhri.
L’apparition de ce jeune homme au côté de Benalla en gare de Londres a fait l’objet d’un compte rendu de la police de l’air et des frontières. Comme l’a révélé le Canard enchaîné, les deux hommes ont été aperçus peu avant 19 heures en gare de Saint-Pancras, avant de prendre l’Eurostar ensemble. Selon la note citée par nos confrères, «leurs attitudes laissent entendre qu’ils se connaissent. Ils discutent ensemble». Le renseignement serait alors remonté immédiatement à Beauvau puis à l’Elysée en raison du profil de Lucas P., fiché «S» selon le Canard.
Selon nos informations, le signalement de Lucas P. serait lié à ses connexions avec un marchand d’armes nigérien, Aboubakar H., qui se trouve également être son voisin à Paris. Le jeune homme a été contrôlé il y a quelques mois au Niger avec 50 000 euros en espèces, somme qu’il devait rapatrier en France pour le compte de l’homme d’affaires. Entendu à son retour par la Direction nationale des enquêtes douanières, Lucas P. aurait été fiché à cette occasion. Mais le 5 septembre, lorsqu’il fait l’aller-retour à Londres avec Alexandre Benalla, sa fiche ne fait l’objet d’un signalement qu’au retour, et pas à l’aller.
Bombe à retardement
Quel était l’objectif de cette rencontre au sommet entre les deux Alexandre ? S’agissait-il d’un simple rendez-vous d’affaires, comme le laisse entendre un proche ? Les deux hommes ont une passion commune pour l’Afrique. Considéré comme un «frère» par de nombreux chefs d’Etat africains, Alexandre Djouhri, 59 ans, a tissé des réseaux politiques et industriels aux ramifications multiples, du Gabon au Congo-Brazzaville, de l’Algérie à la Guinée équatoriale. Alexandre Benalla, qui pointe officiellement à Pôle emploi, ne demanderait qu’à se reconvertir. Ou bien faut-il voir derrière ce rendez-vous secret une tentative de Djouhri visant à trouver des appuis dans la macronie à la veille d’une confrontation délicate avec la justice française ?
Personnage clé de la droite depuis trois décennies, «Monsieur Alexandre» est devenu au fil des affaires une bombe à retardement. Depuis 2016, il est recherché par la justice dans le cadre de l’affaire du financement libyen présumé de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. Après des mois de «cavale» dans les plus grands palaces, Djouhri a finalement été interpellé le 7 janvier à l’aéroport Heathrow de Londres, en vertu d’un mandat d’arrêt européen émis pour «blanchiment d’argent», «détournement de fonds publics» et «corruption». La justice s’intéresse notamment aux conditions dans lesquelles il a vendu une villa à Mougins (Alpes-Maritimes) à un prix largement surestimé à une filiale du fonds souverain libyen dirigé alors par Béchir Saleh, considéré comme le banquier du régime de Kadhafi. En mai 2012, alors que ce même Béchir Saleh était recherché par la justice française, Alexandre Djouhri aurait participé à son exfiltration secrète de Paris vers le Niger, avec l’aide de l’ancien patron du renseignement intérieur, Bernard Squarcini.
Libéré après avoir versé une caution de 1 million de livres (1,13 million d’euros), Alexandre Djouhri doit être prochainement entendu par les juges français. «Le parquet national financier est incapable d’apporter la moindre preuve à la justice anglaise», s’est-il insurgé dans un communiqué transmis le 28 septembre à l’AFP. La bataille procédurale ne fait que commencer.
En attendant, contactés, Alexandre Benalla et Alexandre Djouhri démentent l’existence de la rencontre londonienne. L’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron affirme s’être rendu dans la capitale britannique pour rencontrer le propriétaire du club de Chelsea, le milliardaire russe Roman Abramovitch. Selon l’hebdomadaire américain Bloomberg Businessweek, l’oligarque n’aurait pas été vu à Londres depuis plusieurs mois.
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